slayers
Slayers
justbeconscious
Just be conscious
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Générique de fin de Slayers RETURN (Film 2).
Megumi Hayashibara
hayashibaramegumi
MEGUMI
Hidetoshi Satou
Keiji Soeda
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Movie Ending
Hirogaru omoi kare kata e tsuzuku
Ima omoidasu SORA no hate
Erabi umareochita kono chi de
Deai to wakare tsuka no ma ni sugiru yume

Hibike omoi yo chikara no kagiri
Todoke kokoro no oku fukaku
Hashire ushiro wa furimukanaide
Toki wa PUROROOGU wo kizamu

Yokuatsu no naka saigi tomerarete
Hito wo sekimete mo kawaranai
Un to CHANSU to guuzen to TAIMINGU
Kokoro togisumashi kanjiru

Hito wa kizu wo shiru tabi ni
Tsuyoku yasashiku nareru
Namida no ato no shinjitsu
Kakegaenai ima wo ikiteru

Ashita no jibun wo suki ni naritai kara
Kyou no jibun wo GYUTTO dakishimeru
Jibun ga shuyaku no DORAMA gurai wa
Tanoshimanakucha mottainai wa
HAPPII ENDO dake ja mono tarinai
Toki ni wa namida mo ESSENSU na no
Naite kizutsuite soshite tachinaotte
Enjite miseru wa FINAARU made

Inore kotoba wa sugata wo kaeru
Susume shinjite kono michi wo
Tsukame ryoute ni ima sono yume wo
Yokei na PURAIDO nugisute

Onaji kuroshimi kurikaeshiteru
Kizuku made zutto RABIRINSU
Nukedasu jutsu wa kanarazu aru to
Mimi wo sumashite mitsukedasu

Hito wa kodoku wo shiru tabi
Nukumori sagashimotome
Kizu wo iyashite nemuru no
Kakegaenai asu ni mukatte

Shiawase no katachi sorezore chigau no yo
Tanin no kotoba ni madowasarenai
Shinjiru mono ga watashi no genjitsu
Onkise ga mashii ai nante iranai
Sekkaku ima wo ikite iru no dakara
Suki na koto tanoshii koto shinakucha
ANKOORU nante matte irarenai
Seiippai no ima ni kampai!

Ashita no jibun wo suki ni naritai kara
Kyou no jibun wo GYUTTO dakishimeru
Jibun ga shuyaku no DORAMA gurai wa
Tanoshimanakucha mottainai wa
HAPPII ENDO dake ja mono tarinai
Toki ni wa namida mo ESSENSU na no
Naite kizutsuite soshite tachinaotte
Enjite miseru wa FINAARU made
Sois juste conscient
Continue à déployer tes sentiments
Vers les limites dont tu te souviens maintenant.
Ceux qui ont choisi de naître sur cette terre
Se rencontrent et se séparent en un instant et le rêve se poursuit.

Que mes sentiments résonnent aussi fort qu'ils peuvent !
Et qu'ils s'enfoncent dans mon cœur le plus profondément possible !
Cours et ne te retourne pas !
Le temps grave le prologue.

Ma dépression disparait dans la répression.
Les gens ne changeront pas même s'ils sont condamnés.
Le destin, le hasard, le timing,
Je ressens tout cela clairement dans mon cœur.

Chaque fois que les gens comprennent qu'ils sont blessés,
Ils deviennent plus forts et plus gentils.
La réalité vient après les pleurs
Et mérite d'être vécue comme un présent irremplaçable.

J'étreins fermement celle que je suis aujourd'hui
Car j'aimerais aimer celle que je serai demain.
Si tu es le réalisateur de cette série,
Ce serait dommage que tu ne t'amuses pas.
Il n'y a pas que des fins heureuses,
Parfois, les larmes en constituent aussi l'essence.
Pleurer, se blesser, puis se relever,
C'est ce que je vais te montrer jusqu'à la fin !

Prie et change la forme de tes mots.
Continue sur cette route à laquelle tu crois.
Saisis ce rêve de tes deux mains,
Et débarrasse-toi de cette fierté inutile.

La même souffrance se répète
Car c'est un labyrinthe jusqu'à ce que tu t'en rendes compte.
Il y a toujours un moyen de s'y échapper,
Alors écoute attentivement et va le trouver.

Chaque fois que les gens connaissent la solitude,
Ils recherchent de la chaleur.
Guéris leurs blessures et repose-toi,
Pour te préparer à un lendemain irremplaçable.

La forme du bonheur change selon les personnes.
Ne laisse pas ce que les autres disent t'influencer.
Ma réalité est constituée de ce en quoi je crois.
Je n'ai pas besoin d'un amour condescendant,
Car je vis la réalité.
Je dois faire les choses que j'aime et m'amuser,
Je n'ai pas besoin d'attendre que ça se répète.
Buvons à l'honneur du moment présent !

J'étreins fermement celle que je suis aujourd'hui
Car j'aimerais aimer celle que je serai demain.
Si tu es le réalisateur de cette série,
Ce serait dommage que tu ne t'amuses pas.
Il n'y a pas que des fins heureuses,
Parfois, les larmes en constituent aussi l'essence.
Pleurer, se blesser, puis se relever,
C'est ce que je vais te montrer jusqu'à la fin !
Kaillou
Captures du film
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