zankyounoterror
Zankyou no Terror
darekaumiwo
Dareka, Umi wo.
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Générique de fin.
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Ichiko Aoba
Youko Kanno
Youko Kanno
30
Ending
Dareka umi wo maite wa kurenai ka
Boku no zujou ni
Shizunde yuku sakana to taiyou wo
Abitai no da

Azayaka na michi
Tsumazuite kieru mahou
PUREPARAATO koshi ni mieru
Hibiwareta sora

Haikyo no okujou ni
Tadoritsuku watage no
Sasayaki wo kakomu
Bokura wa uta

Haiiro no chijou ni
Kazarareta hikari no
Todoroki wo matou
Bokura wa hanataba

Mushirareta tsubasa wo

Kotoba
Fukikaesu iki mo naku
Adeyaka ni chiru

Umidori
Michihiki no mannaka ni
Usotsuki no hoshi
Matataki
Michibiite wa tsukihanashi
Fune wo kogu

Mayonaka no umi
Zankyou no shiokaze to
Moesakaru sekai ni
Hoho wo uzume

Hishimeku koe-tachi no
Uzumaki no tadanaka
Te wo tsunagi hari no ame wo kuguru no

Kureteku zekkei ni
Ochiteku sakasama no
Kagerou to asobi
Jikan to odoru no

Haikyo no okujou ni
Tadoritsuku watage no
Sasayaki wo kakomu
Bokura wa uta

Haiiro no chijou ni
Kazarareta hikari no
Todoroki wo matou
Bokura wa hanataba

Dareka umi wo maite wa kurenai ka
Bokura no tenjou ni
Que quelqu'un verse la mer
Quelqu'un pourrait-il verser la mer
Sur ma tête ?
Je voudrais me doucher avec
Les poissons et le soleil qui y baignent.

L'inconnu est brillant
Et la magie disparaît après avoir trébuché.
Nous regardons comme à travers une lame d'observation
Un ciel qui se fissure.

Sur le toit d'un bâtiment en ruines,
Entourés par les murmures
Des aigrettes de pissenlits parvenues jusque-là,
Nous constituons une chanson.

Sur le sol gris,
Habillés du tonnerre
Lui-même décoré de lumière,
Nous constituons un bouquet de fleurs.

Avec ces ailes de plumes...

Les mots
Se dispersent de façon envoûtante
Sans aucune chance de revenir à la vie.

Au milieu de tous ces oiseaux marins
Qui vont et viennent
Se trouve une étoile menteuse.
Son scintillement
Nous guide et nous force
À ramer sur notre bateau.

Sur la mer de minuit
Résonne l'écho de l'air marin
Et de ce monde en feu.
Nous y enterrons nos joues.

À l'intérieur du tourbillon
Des voix qui se bousculent,
Nous nous tenons par la main en passant sous la pluie d'aiguilles.

Tandis que le paysage s'obscurcit,
Nous nous amusons avec la vapeur
Qui tombe tête en bas,
Et nous dansons avec le temps.

Sur le toit d'un bâtiment en ruines,
Entourés par les murmures
Des aigrettes de pissenlits parvenues jusque-là,
Nous constituons une chanson.

Sur le sol gris,
Habillés du tonnerre
Lui-même décoré de lumière,
Nous constituons un bouquet de fleurs.

Quelqu'un pourrait-il verser la mer
Sur notre plafond ?
Kaillou
Captures de la vidéo du générique
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